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  • l’arrivée de Khvitcha Kvaratskhelia au PSG vue par Zouriko Davitachvili


    « L’arrivée de Khvitcha Kvaratskhelia au Paris-SG constitue-t-elle une bonne surprise pour vous ?
    (Il sourit) Non, car nous échangeons souvent ensemble. J’étais donc au courant. Je savais qu’il allait venir à Paris. C’est super de se retrouver désormais à trois Géorgiens, en France, qui jouent déjà ensemble en équipe nationale (avec Georges Mikautadze à Lyon). Cela nous permet d’être encore plus près l’un de l’autre. On se connaît déjà très bien et nous entretenons tous les trois d’excellentes relations.

    Vous êtes si proches que cela, avec Kvaratskhelia ?
    Oui. J’avais 10 ans quand je l’ai connu. On a joué dans beaucoup de clubs ensemble. La première fois, c’était à l’académie du Dinamo Tbilissi, en Géorgie (2012-2017). Par la suite, on s’est séparés, avant de se retrouver au Rubin Kazan (en Russie, 2019-2020), puis au Dinamo Batoumi (en Géorgie, 2022) et en sélection, maintenant. Nous sommes très proches. Nos familles aussi. Khvticha est le parrain de mon fils. C’est comme un frère, pour moi.

    « À mon avis, c’est l’un des meilleurs ailiers gauche au monde »

    Quel footballeur est-il ?
    Tout d’abord, c’est un vrai professionnel. Il adore son métier. Il investit beaucoup d’énergie dedans et cela se voit. C’est quelqu’un qui s’entraîne énormément, qui travaille beaucoup sur lui-même, et qui donne toujours le maximum sur un terrain. Ensuite, il se montre capable de créer pour marquer un but et de jouer avec les deux pieds. S’il est droitier, il se sert également très bien de son pied gauche. À mon avis, c’est l’un des meilleurs ailiers gauche au monde. Il a d’ailleurs montré toute l’étendue de son talent, et dès son arrivée, à Naples (en juillet 2022). Il y est pour beaucoup si le Napoli a de nouveau gagné le titre de champion d’Italie (en 2023), après trente-trois ans d’attente. J’étais d’ailleurs sûr qu’il réussirait en Serie A.

    Comme vous êtes persuadé de sa réussite en Ligue 1 ?
    Oui, et c’est pour cela que lorsque le Paris-SG lui a fait une proposition, il l’a acceptée. Il rêvait de ça. Si la Ligue 1 est d’un très bon niveau, Khvitcha ne rencontrera pas de problèmes d’adaptation. Parce qu’il est également très fort dans sa tête. Cela l’aide beaucoup et dans tout.

    « Nous avons beau être très proches dans la vie, une fois sur le terrain, on laisse ça de côté »

    Et sur le plan humain, comment est-il ?
    C’est quelqu’un de chaleureux, doté d’une très belle personnalité et très rigolo. Quand nous avons un moment de vacances, nous le passons tous ensemble, avec femmes et enfants. On en profite pour beaucoup jouer, notamment à la PlayStation 4, à FIFA. Je le prends comme joueur et je gagne tout le temps (rire) ! Mais bon, il apprend à jouer à ce jeu vidéo et parfois, il gagne. On choisit Real-Barça, ou Liverpool, ou Manchester City, on a déjà joué aussi avec le Paris-SG. Mais le plus souvent, c’est moi qui gagne (il insiste) !

    Vous devez dès lors avoir hâte de l’affronter, le week-end du 29-30 mars ?
    Oui, et je vais tout faire pour le battre. Nous avons beau être très proches dans la vie, une fois sur un terrain, on laisse ça de côté. Chacun joue pour son équipe. Nous avons déjà vécu cette expérience une seule fois, en Russie. Je l’avais reçu avec Arsenal Toula, quand il évoluait au Rubin Kazan.

    Et qui en était sorti vainqueur ?
    Je ne me souviens plus lequel d’entre nous deux avait gagné. Juste du score. 3-0 ou 3-1 (3-0 pour le Rubin, le 30 juillet 2021). Maintenant, on va pouvoir voir ce que cela va donner l’un contre l’autre, en France. »



    L’arrivée de Khvitcha Kvaratskhelia au PSG vue par Zouriko Davitachvili: Une nouvelle ère pour le club parisien !

    Dans un post récent, Zouriko Davitachvili, grand connaisseur du football et proche du PSG, a partagé son analyse sur l’arrivée de Khvitcha Kvaratskhelia au club parisien. Selon lui, cette signature marque le début d’une nouvelle ère pour le PSG, avec un joueur talentueux et prometteur qui pourrait bien changer la donne sur le terrain.

    Davitachvili a loué les qualités techniques et physiques de Kvaratskhelia, soulignant sa capacité à dribbler, sa vitesse et sa vision du jeu. Il a également mis en avant son potentiel pour devenir l’un des meilleurs joueurs de sa génération et faire la différence dans les matchs décisifs.

    Pour Zouriko Davitachvili, l’arrivée de Kvaratskhelia au PSG est un véritable coup de maître, qui renforce l’équipe et lui donne une dimension supplémentaire. Il est convaincu que le joueur géorgien saura s’adapter rapidement au club et s’intégrer parfaitement dans le collectif.

    En conclusion, Zouriko Davitachvili estime que le PSG a frappé fort en recrutant Khvitcha Kvaratskhelia et que les supporters peuvent se réjouir de voir évoluer un tel talent sous les couleurs parisiennes. Une nouvelle ère s’ouvre pour le club, et nul doute que Kvaratskhelia saura en être l’un des piliers.

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  • La recrue du PSG Khvitcha Kvaratskhelia titulaire contre Reims


    Huit jours après s’être engagé avec le PSG jusqu’en 2029, Khvitcha Kvaratskhelia (23 ans) va faire ses grands débuts sous ses nouvelles couleurs, ce samedi soir face à Reims. L’attaquant géorgien, qui sera présenté au public du Parc des Princes aux alentours de 20h50, est titulaire dans le onze aligné par Luis Enrique. L’ancien Napolitain devrait débuter sur l’aile gauche d’une attaque où figurent aussi Ousmane Dembélé et Gonçalo Ramos.

    À quatre jours du rendez-vous crucial contre Stuttgart en Ligue des champions, l’entraîneur parisien a opéré plusieurs changements, laissant au repos certains cadres (Hakimi, Marquinhos) et en laissant d’autres sur le banc (Pacho, Barcola, Vitinha, Neves).

    Le onze de départ du PSG : Donnarumma – Zaïre-Emery, Beraldo, L. Hernandez, Nuno Mendes – Lee, F. Ruiz, D. Doué – O. Dembélé, G. Ramos, Kvaratskhelia.



    Le jeune prodige géorgien, Khvitcha Kvaratskhelia, fera ses débuts en tant que titulaire avec le Paris Saint-Germain contre Reims ce week-end. Le joueur de 20 ans a impressionné lors de ses récentes apparitions en tant que remplaçant et a finalement convaincu l’entraîneur Mauricio Pochettino de lui donner sa chance dans le onze de départ.

    Kvaratskhelia est considéré comme l’un des plus grands talents de sa génération et sa vitesse, sa technique et sa vision du jeu en ont fait un joueur très recherché. Sa polyvalence sur le terrain lui permet de jouer à plusieurs postes offensifs, ce qui en fait un atout précieux pour l’équipe.

    Les supporters du PSG sont impatients de voir ce que Kvaratskhelia peut apporter à l’équipe et espèrent qu’il pourra aider le club à remporter une victoire cruciale contre Reims. Avec son talent et sa détermination, nul doute qu’il saura se montrer à la hauteur de ses attentes et devenir un pilier de l’équipe parisienne.

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  • Why Man City Won’t Face Khvicha Kvaratskhelia in Champions League Against PSG


    Why Man City Won’t Face Khvicha Kvaratskhelia in Champions League Against PSG

    Why Man City Won’t Face Khvicha Kvaratskhelia in Champions League Against PSG

    Paris Saint-Germain made a bold move in the January transfer window by signing former Napoli winger Khvicha Kvaratskhelia. The Georgian star’s arrival is expected to make waves in the transfer market.

    After spending the first half of the 2024-25 season with Napoli, Kvaratskhelia has joined PSG on a deal that runs until 2029.

    Although the exact transfer fee hasn’t been officially disclosed, reports suggest PSG paid €70 million (£59 million) plus add-ons to secure his services.

    Despite interest from Liverpool and Manchester United, PSG won the race for the 22-year-old. However, their new signing won’t be available as they look to turn around their UEFA Champions League campaign.

    The reason Khvicha Kvaratskhelia won’t play against Man City

    Khvicha KvaratskheliaKhvicha Kvaratskhelia

    Francesco Pecoraro/Getty Images

    As per L’Équipe, although Kvaratskhelia hasn’t played in the Champions League this season—nor has his former club—the Georgian international, who last featured for Napoli on December 29 in a Serie A match against Venezia, will have to settle for watching from the stands.

    Clubs involved in the Champions League can only field players who were registered with UEFA before the September 3 deadline for the initial phase. This means Kvaratskhelia won’t be on the pitch for the match against Stuttgart on January 29.

    If the club progresses to the knockout stages, they’ll be allowed to “register up to three new players” by February 6, 2025, at midnight. At that point, the new No. 7 could add to his Champions League record of 2 goals and 5 assists in 17 matches. Until then, he could make his Ligue 1 debut at the Parc des Princes against Stade de Reims on January 25.



    Man City fans may be disappointed to hear that they won’t be facing Khvicha Kvaratskhelia in the upcoming Champions League match against PSG. The talented Georgian winger has been ruled out of the clash due to injury, leaving City without one of their key attacking threats.

    Kvaratskhelia has been in fine form this season, dazzling fans with his pace, skill, and creativity on the wing. His absence will undoubtedly be felt by his team, as they look to navigate their way through the knockout stages of the competition.

    While City will still have plenty of quality players to call upon, Kvaratskhelia’s absence will be a blow to their chances of success. The young winger has been a standout performer for his team this season, and his absence will be keenly felt by both his teammates and fans alike.

    Despite this setback, City will still be confident in their ability to overcome PSG and progress to the next round of the competition. With a talented squad and an experienced manager at the helm, they will be hoping to make up for the absence of Kvaratskhelia and secure a positive result in the upcoming match.

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  • Kvaratskhelia, et bien là – France – Paris Saint-Germain


    Dans l’intimité des bains de soufre du vieux Tbilissi, rien de tel qu’un combo slibard, claquettes et serviette sur l’épaule pour se laisser aller à quelques confidences géopolitiques. « Russia ? Bad ! France, good ! », analyse l’employé local, spécialiste de l’art du kisi, une technique de massage typiquement géorgienne. Malgré un anglais niveau débutant sur Duolingo, celui que les rugbymen qualifieraient de « beau bébé » ne se décourage pas et enchaîne sur une radiographie sportive de son pays. « Me ? Boxing, explique-t-il, comme si sa carrure d’équarrisseur laissait la moindre place au doute. Judo : Georgia good. Football : Georgia bad… » Seau d’eau brûlante dans la gueule : « But Kvara, good ! » Seau d’eau glacée : « Kvara, very good !! » De son nom complet Khvicha Kvaratskhelia (prononcer « Rouicha Kouaratsrelia »), l’ailier du Napoli est donc à la fois le joueur le plus rafraîchissant de cette saison 2022-2023 et l’idole d’un pays où masser équivaut à frotter le corps le plus fort possible, infliger des grandes tartes dans le dos et balancer des bassines d’eau dans la tronche. Le tout dans une ambiance moite fleurant bon l’œuf pourri.

    De quoi filer la nausée aux recruteurs des grosses écuries européennes, qui se demandent encore comment ils ont pu passer à côté d’une pareille affaire. À une époque où n’importe quel môme d’un mètre vingt avec un tant soit peu de talent n’a plus de secret pour les scouts du monde entier, la réponse se trouve quelque part dans cette Géorgie sortie des radars footballistiques depuis, grosso modo, le début des années 1990. Une époque où il était encore possible de s’exciter sur les derniers phénomènes venus de l’autre côté du rideau de fer – coucou Hristo Stoitchkov, Gheorghe Hagi et Andrei Chevtchenko. Depuis le tournant du millénaire, aucun joueur issu de l’ex-bloc de l’Est n’a explosé aussi soudainement à la face de l’Occident. Aucun, jusqu’à ce type de 23 ans à la barbe de guérillero et au nom imprononçable. Un ovni qui joue le buste droit, la tête haute et les chaussettes à mi-mollets. La marque des grands.

    Dans le package Davitashvili

    À l’image de tous les cracks, la carrière de Kvaratskhelia a débuté dans un endroit pas vraiment instagrammable. En l’occurrence, le stade Maracana du quartier de Saburtalo. Une enceinte dont la vétusté a notamment fait bégayer Andrés Carrasco. En 2011, cet ancien formateur de la Masia quitte le confort du FC Barcelone pour prendre en charge les catégories de jeunes du Dinamo Tbilissi. Sa mission principale ? Dénicher les graines de stars locales. C’est dans cette optique qu’il découvre le Maracana à la sauce géorgienne. Un crassier dont la pelouse synthétique est alors gangrenée par d’innombrables nids-de-poule. « Cet endroit, il faut le voir pour le croire, c’est indescriptible… À côté, le terrain de mon village en Espagne, c’est un billard ! », se marre Carrasco.

    Dire qu’il nous a éblouis au premier coup d’œil serait un mensonge. Il avait des qualités d’élimination, mais était un peu rustre techniquement, ses contrôles de balle étaient moyens.

    Andrés Carrasco, le formateur espagnol qui a découvert le Géorgien

    Le Catalan gare sa bagnole sur un parking situé aux abords d’immeubles austères, s’étonne de voir la neige tomber et constate que rien n’a vraiment changé à l’endroit où il a découvert Khvicha. Pour accéder au terrain, il faut toujours enjamber cette palissade qui protège l’entrée d’on ne sait trop quoi, puis traverser une décharge jonchée de carcasses d’appareils de musculation. Bonne nouvelle : la pelouse a été refaite. Aujourd’hui, elle accueille même des matchs de deuxième division. « Quand je suis venu ici il y a douze ans pour cette journée de détection, un talent nous a immédiatement sauté aux yeux », se souvient Carrasco. Le gamin en question évolue alors au FK Avaza, il s’appelle Zuriko Davitashvili et porte aujourd’hui le numéro 22 de l’AS Saint-Étienne. « Concernant Kvara, dire qu’il nous a éblouis au premier coup d’œil serait un mensonge, poursuit l’Espagnol aux faux airs d’Éric Judor. Il avait des qualités d’élimination, mais était un peu rustre techniquement, ses contrôles de balle étaient moyens. »

    Des limites qui soulèvent quelques doutes, d’autant qu’au moment de donner son feu vert pour enrôler le duo offensif, le Catalan découvre une étrange coutume locale. « Ici, la condition pour engager des joueurs était d’offrir un contrat à leur coach, rejoue le formateur. C’était une pratique normale à l’époque. Donc pour incorporer ces jeunes que j’aime bien, je dois prendre cet entraîneur dont je ne connais pas la manière de travailler. C’est un package, en fait. Résultat, on a dû intégrer à notre staff le père de Davitashvili, qui entraînait le FK Avaza. Il est devenu le coach de la génération 2001. » Dans la boîte à souvenirs de l’ancien employé blaugrana, il y a également cette visite lunaire chez les parents de Giorgi Chavketadze. Les géniteurs de l’actuel international géorgien sont alors d’accord pour que leur rejeton intègre l’académie du Dinamo. À une condition : l’opération du cœur de l’ancien coach de leur fils doit être prise en charge par le club. « Ça fonctionne comme ça ici, souffle Carrasco. Je crois que c’est une question d’honneur et d’engagement. »

    « Chaque Géorgien a l’espoir qu’il soit l’élu »

    Fatigué par tant de négociations, l’Espagnol quitte finalement la Géorgie en 2013. Il laisse derrière lui le jeune Kvara, qui apprend encore à gommer ses lacunes dans les installations du nouveau centre de formation du Dinamo, inauguré en grande pompe par Andrei Chevtchenko et Cristiano Ronaldo cette même année. Comme la plupart des pépinières, la Dinamo Academy, posée dans le quartier de Dighomi, a choisi de tapisser ses murs de mantras faussement inspirants. Une déco regrettable qui jure notamment que le « Future starts here ». Celui de l’ambidextre a toutefois tardé à se dessiner. Alors que son pote Davitashvili brille, Khvicha doit la plupart du temps se contenter de l’équipe B de sa catégorie. « Il ne faut pas croire le mythe selon lequel chaque joueur talentueux est comme Messi, une pépite depuis son plus jeune âge », recadre le globe-trotter Carrasco, revenu à Tbilissi en 2022 après avoir roulé sa bosse au Koweït, au Shakhtar Donetsk et en Australie. Pour donner un réel aperçu de son sens du dribble, celui qui a débuté dans l’élite avec son club formateur à l’âge de 16 ans fait le choix étrange de signer au FK Rustavi. Un club sans standing dont le stade est situé à mi-chemin entre la capitale et la frontière avec l’Azerbaïdjan. Une voie de garage ? Pas vraiment.

    Après une dizaine de petits matchs, le Lokomotiv Moscou l’enrôle et le cède à son tour au Rubin Kazan. Largement suffisant pour que le joueur honore sa première sélection avec la Géorgie en 2019 contre Gibraltar. « Il est arrivé en jouant sans crainte, avec cette envie de défier, de jouer les un-contre-un, de prendre des risques, de dribbler, en salive encore Rati, community manager du Dinamo. On avait perdu ce genre de joueurs en Géorgie depuis les années 1990. On a tout de suite réalisé que c’était le talent dune génération, et depuis son apparition, chaque Géorgien a l’espoir qu’il soit l’élu. »

    Seul bémol : à l’époque, le prodige brille dans un pays qui occupe illégalement 20% du territoire géorgien. Le fait que Kvara exhibe son talent dans l’ancienne puissance coloniale fait d’ailleurs grincer quelques dents. Celles de Giga Bokeria, notamment, qui fut l’un des instigateurs de la révolution des Roses de 2003 (mouvement pacifique qui mena à la démission du président Edouard Chevardnadze, ancien ministre des Affaires étrangères de Mikhaïl Gorbatchev et accusé de corruption, NDLR). « Kvara a été critiqué, même si les gens ont été plus tolérants avec lui qu’avec Tornike Shengelia, le capitaine de l’équipe nationale de basket qui a signé au CSKA Moscou, le club de l’armée russe, souligne l’ancien membre du parlement de Géorgie. En matière de symbole, c’est quelque chose que je ne pourrai jamais totalement pardonner. » Par patriotisme, Bokeria a ainsi toujours refusé de suivre les performances de Kvaratskhelia dans le championnat russe. À l’époque, d’autres acceptent plus volontiers de s’asseoir sur leurs principes pour voir jouer la nouvelle fierté nationale, élue meilleur espoir du championnat lors des saisons 2019-20 et 2020-2021.

    Agent trouble et braquage à la napolitaine

    Avec ses boiseries trop lustrées et ses dorures clinquantes, l’hôtel Ambassadori a le goût un peu tapageur des palaces post-soviétiques. Dans le restaurant de l’établissement, quatre margoulins aux vestes cintrées et allure louche discutent affaires autour d’une grande table ronde. Plus au fond, dans une salle à l’abri des regards indiscrets, deux hommes boivent du thé en tirant sur leur Iqos. Il s’agit de Badri Kvarastkhelia, « père de » et ancien meilleur buteur du championnat azéri, et de l’agent de Kvara, l’exubérant Mamuka Jugeli. « La réponse géorgienne à Mino Raiola », aime-t-on plaisanter à Tbilissi. Une manière polie de dire que ce quinquagénaire affable aux yeux tombants et à l’embonpoint prononcé traîne son lot de casseroles. Ancien directeur sportif de l’Anzhi Makhatchkala et éminence grise de plusieurs autres clubs russes, il est notamment suspecté d’avoir truqué plusieurs matchs. Accessoirement, une vidéo de lui frappant un arbitre circule toujours sur internet. Son ombre imposante plane aussi sur le départ précipité de son protégé du Dinamo Tbilissi en 2016. Face au refus du président Roman Pipia de lâcher quelques gros billets en échange de la permanence de Khvicha dans son club formateur, le représentant aurait orchestré la fuite du joueur vers le fameux FC Rustavi.

    Une chose est sûre : le souriant Mamuka est un agent comme on n’en fait plus. À une époque où la maîtrise de l’anglais est devenue un impératif, lui s’exprime uniquement en russe ou en géorgien. Pratique. Entre deux gorgées de thé, il cultive son côté old school en assurant par exemple n’avoir jamais signé de contrat avec les Kvarastkhelia : « Nous sommes des amis engagés mutuellement, presque une famille, signer un contrat entre nous serait une insulte. » Loin des discours convenus des agents modernes sur le bien-être de leurs clients, Jugeli ne s’encombre pas non plus avec toute cette mode du selfcare. « Khvicha joue et Badri et moi on pense, c’est notre métier », simplifie-t-il. Son boulot l’a aussi conduit à exfiltrer son poulain du Rubin Kazan lorsque Vladimir Poutine s’est mis en tête d’envahir l’Ukraine. « Il y avait une forte pression de l’opinion publique pour qu’il quitte la Russie, explique l’agent. On savait déjà qu’il signerait un contrat avec un club européen en fin de saison. Le président du Rubin, qui est un bon gars, a tenu parole et l’a laissé partir avant. C’est là qu’on a décidé qu’il allait terminer la saison au Dinamo Batoumi. »

    Dans les un-contre-un, Diego était le dieu du football, mais Kvara marche sur ses pas, il est sur le bon chemin.

    Luciano Spalletti, son coach à Naples

    Le retour en Géorgie du fils prodigue, qui s’est toujours contenté de positions tièdes sur la guerre en Ukraine, met le pays en émoi. À Batoumi, sorte de Dubaï miniature au bord de la mer Noire, c’est l’effervescence. L’Adjarabet Arena fait systématiquement le plein pour assister aux exploits de l’ailier virevoltant. Les stades champêtres aux quatre coins du pays accueillent Kvara comme un héros. Pour le derby des Dinamo, 25 000 personnes – record d’affluence du championnat – se bousculent dans un stade Boris-Paichadze qui sonne habituellement creux. Khvicha profite de ce retour aux sources pour planter 8 buts en 11 matchs avant de finalement signer au Napoli. Montant du transfert ? Dix millions d’euros. Un braquage dont est particulièrement fier le directeur sportif Cristiano Giuntoli. « Lorsque la Juve, la Roma et la Real Sociedad ont commencé à s’intéresser à lui, il était déjà à nous, se frotte les mains le dirigeant azzurro. La première fois que je l’ai vu, on était en plein confinement. À l’époque, on ne s’est même pas assis à la table des négociations parce que le Rubin Kazan en demandait 30 millions… Quand la guerre a éclaté et qu’il a signé au Dinamo Batoumi, je me suis empressé de prendre l’avion pour le signer pour trois fois moins. »

    Depuis qu’il a posé ses valises à Naples, Kvara s’est déjà fait cambrioler son domicile. On lui a aussi volé sa Mini Country Man. « Ce sont des choses qui arrivent partout et pas seulement à Naples, minimise Jugeli. Khvicha adore la ville et ses habitants. » C’est le moins qu’on puisse dire. Immédiatement à l’aise dans son nouvel environnement, le numéro 77 s’offre un but et une passe décisive pour son premier match de Serie A (victoire 5-2 contre le Hellas Vérone). De quoi faire rapidement oublier le départ de l’enfant du pays, Lorenzo Insigne. La semaine suivante, face à son nouveau public, il inscrit un doublé contre Monza (4-0). Sous le charme, les Partenopei le rebaptisent illico « Kvaradona », pour la plus grande joie du paternel. « Cest une immense fierté que mon fils joue dans le club où le plus grand de tous les temps a évolué, s’émeut Badri Kvarastkhelia. Maradona est mon idole absolue. Pour moi, il y a Diego et les autres. » Pour Papa Kvara, il semble ne pas y avoir débat, mais à Naples, où l’exagération fait partie intégrante du folklore local, certains tifosi assurent tout de même voir du Diego dans les feintes du Géorgien. Le coach Luciano Spalletti a lui tenté de temporiser avant de s’adonner à pareil remix : « Dans les un-contre-un, Diego était le dieu du football, mais Kvara marche sur ses pas, il est sur le bon chemin, se réjouissait-il récemment en conférence de presse. C’est un dribbleur incroyable, il sait vraiment y faire pour étourdir les défenseurs. Si tu l’as face à toi, t’es mort ! »

    Les Croisés, tu connais

    Cet art de l’esquive fait évidemment lever les Géorgiens de leur canapé. À Tbilissi, distante de 2552 kilomètres du stade Diego Armando Maradona, les vestes et maillots Emporio Armani du Napoli Calcio sont même devenus les accessoires indispensables pour briller en société. Décalage horaire oblige, des personnes de tout âge se donnent rendez-vous à minuit dans les bars pour assister religieusement aux exploits du très pieux Kvaratskhelia en Ligue des champions. Même un Cremonese-Napoli est désormais susceptible de paralyser le pays. « Avant, personne ne regardait vraiment la Serie A et il fallait bien fouiller pour trouver un supporter de Naples en Géorgie. Aujourd’hui, on a l’impression que la plus grande préoccupation des gens, c’est que le club gagne le Scudetto », sourit Rati.

    Le talent et le football offensif avaient un peu disparu chez nous, mais Kvara a redonné au pays le goût du vrai football géorgien.

    Comme des milliers de ses compatriotes, le jeune homme ne s’est pas contenté d’admirer Kvara devant sa téloche. Il est parti en pèlerinage dans la Botte pour le voir jouer en vrai. Pas de bol pour lui, lors de son passage en Campanie à l’automne dernier, Kvara n’a jamais retiré sa chasuble. « C’était contre les Glasgow Rangers. Ça doit être le seul match de la saison où il n’est pas entré en jeu. Je l’ai juste vu s’échauffer le long de la ligne de touche », peste l’employé du Dinamo. La Kvaramania est telle que les agences de voyages vendent désormais des « Kvara Pack ». Giga Bokeria n’a pas encore testé les vols charters reliant les deux villes les jours de match, mais l’ancien élu a sa petite théorie sur la « Napolisation » express de ses compatriotes. « Par une ironie tragique, ma génération a grandi avec un rapport étrange avec le foot. Nous n’avions pas d’équipe nationale à supporter, car l’URSS n’était pas une option, même si elle était composée de Géorgiens. Pendant les Coupes du monde, tout le monde choisissait une équipe, et la mienne était l’Argentine. À cause de ça, en Géorgie, c’est devenu normal de supporter une équipe qui n’est pas vraiment la nôtre. C’est un héritage de cette époque. »

    À lui seul, Kvara aurait donc réussi un double exploit : raviver la flamme chez un peuple qui, faute d’émotions, avait mis cette passion sous le tapis depuis plusieurs décennies, et surtout rendre sa fierté à un pays autrefois réputé dans tout l’empire pour sa gastronomie, son vin, ses plages et la douceur de son climat. Pour son football, aussi, le plus soyeux de l’ère soviétique. Avec comme figure de proue le Dinamo Tbilissi, vainqueur de la Coupe des coupes en 1981, ce qui en fait la seule équipe d’URSS avec le Dynamo Kiev à avoir remporté une Coupe d’Europe. Le tout en proposant un football offensif et fantasque, remis aujourd’hui au goût du jour par l’enfant du club. « L’hymne du Dinamo dit d’attaquer et dattaquer encore, mais ça ne suffit pas, il faut aussi jouer un football technique, fait de dribbles et de coups d’éclat, explique Rati, qui s’enflamme comme un tifosi napolitain. C’était très marqué à l’époque soviétique, où les Géorgiens étaient les artistes. C’était notre marque de fabrique. On était l’équivalent des danseurs de samba, les Brésiliens de lURSS ! »

    Tout simplement considérée comme la meilleure du monde par le sélectionneur argentin César Luis Menotti, l’équipe menée par la séduisante paire de milieux de terrain David Kipiani-Vitali Daraselia n’a jamais vraiment trouvé d’héritiers. La première génération post-soviétique de la sélection nationale comptait bien quelques esthètes – les frères Arveladze, Temuri Ketsbaia ou encore Georgi Kinkladze –, mais ceux-ci n’étaient pas prêts pour le football moderne. Le succès à l’AC Milan de l’actuel maire de Tbilissi, Kakha Kaladze, deux fois vainqueur de la Ligue des champions dans les années 2000, ne suffit pas à sortir les Géorgiens de leur mélancolie. « Le talent et le football offensif avaient un peu disparu chez nous, mais Kvara a redonné au pays le goût du vrai football géorgien, s’enthousiasme Rati. Il a ravivé cet idéal et ce style dans nos esprits. C’est pour cela qu’on l’adore. »

    Dream Bigger

    À 23 ans (24 dans quelques jours), Khvicha Kvaratskhelia a appris à composer avec ce statut de meilleur ambassadeur d’un pays en soif de reconnaissance sur la scène internationale, avant de l’épancher lors d’un Euro historique en 2024. « Le Géorgien est hyper fier de son pays, de sa langue, de son écriture, de sa nourriture, de son vin, mais il manque parfois de reconnaissance internationale, médite Andrés Carrasco. Et puis, cest un pays qui a connu des difficultés, des guerres, c’est pourquoi toutes les images positives projetées sont importantes pour eux. Je crois que le fanatisme autour de Kvara est aussi dû à cela. Tout le monde se sent représenté par sa réussite. » À Tbilissi, l’ancien formateur du Barça a lui-même expérimenté cet arrière-goût d’indifférence. La sensation d’être « un peu seul ». Quand il vantait le talent des jeunes joueurs de son académie à ses collègues européens, il avait parfois l’impression de pisser dans un violon.

    Son père et moi sommes fans du Barça, mais Khvicha aime le Real Madrid…

    Mamuka Jugeli, le Mino Raiola géorgien

    À vrai dire, pas grand monde ne s’offrait un billet d’avion pour superviser les promesses caucasiennes, dont le principal défaut est de ne pas disposer de passeport européen. « Faire signer un joueur géorgien a pourtant des avantages, défend l’Espagnol en parfait VRP du foot local. Économiquement, un Brésilien de 17 ans qui intéresse le Real Madrid vaut déjà 100 millions deuros. En Géorgie, tu peux t’appuyer sur notre expérience et investir sur des joueurs talentueux pour des prix bien plus raisonnables. » Willy Sagnol, sélectionneur de la Géorgie, a lui aussi connu les petits rires moqueurs quand il louait en France le talent de ses jeunes éléments. « Kvara, j’ai passé un an à tenter de convaincre les clubs français de le prendre. Tout ce que jai entendu, cest qu’il était cuit à la 70e. D’autres dirigeants m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas prendre le risque de recruter un Géorgien, ou que ce n’était pas assez ambitieux pour leurs supporters », foudroyait-il en septembre 2022.

    Depuis, le vent a tourné. Porté par sa locomotive napolitaine, le train du football géorgien est bien passé à la vitesse supérieure. Après avoir loupé de peu l’Euro 2020, la sélection a été promue deux fois de suite en Ligue des nations, une compétition en bois qui aura au moins permis au Bordelais Zuriko Davitashvili ou au gardien du FC Valence Giorgi Mamardishvili de valider leur ticket pour l’Europe de l’Ouest, mais surtout de se hisser en huitièmes de finale des derniers Championnats d’Europe des nations. « Je suis convaincu quon peut embêter nimporte quel adversaire », prédisait Alexander Iashvili, vice-président de la fédération, sans savoir qu’en Allemagne, les Croisés accrocheraient la Tchéquie (1-1), s’offriraient une victoire face aux remplaçants Portugais (2-0) avant de sortir avec les honneurs contre l’Espagne (1-4). Un an plus tôt, à l’hôtel Ambassadori, on rêvait encore plus grand que l’Euro et Naples. Khvicha, fan de Guti, rêvait de devenir le premier Géorgien à revêtir le maillot blanc du Real Madrid. Une idée qui n’emballait pas vraiment son entourage. « Son père et moi sommes fans du Barça, mais Khvicha aime le Real Madrid, se désole l’agent. Ce qui est sûr, c’est qu’il ne jouera dans aucune autre équipe italienne le jour où il quittera Naples… Kvara au PSG, ça aurait de la gueule. » Bien vu, ce sera bien en Ligue 1 et au Paris Saint-Germain qu’il pourra à nouveau se mesurer à Zuriko Davitashvili.

    Par Arthur Jeanne, à Tbilissi // Article issu du magazine SO FOOT #205 (avril 2023)

    Tous propos recueillis par AJ, sauf ceux de Sagnol sur RMC et de Giuntoli dans La Gazzetta dello Sport.



    Kvaratskhelia, et bien là – France – Paris Saint-Germain

    Bonjour à tous les fans de football ! Aujourd’hui, nous allons parler d’une jeune pépite du football géorgien qui a récemment rejoint l’un des clubs les plus prestigieux d’Europe : Paris Saint-Germain.

    Il s’agit de Khvicha Kvaratskhelia, un milieu de terrain offensif de 20 ans qui a fait ses débuts professionnels avec le Dinamo Tbilissi en Géorgie. Sa créativité, sa vision du jeu et sa capacité à dribbler ont rapidement attiré l’attention des recruteurs de clubs européens.

    Après avoir impressionné lors de ses débuts en Ligue des champions avec le Dinamo Tbilissi, Kvaratskhelia a attiré l’intérêt de plusieurs clubs de premier plan. Finalement, c’est le Paris Saint-Germain qui a remporté la bataille pour sa signature, faisant de lui l’un des jeunes talents les plus excitants à rejoindre le club cette saison.

    Avec son arrivée à Paris, les supporters du PSG sont impatients de voir ce que Kvaratskhelia peut apporter à l’équipe. Sa capacité à créer des occasions et à marquer des buts devrait en faire un joueur clé pour le club dans les années à venir.

    Alors restez à l’écoute pour voir comment Kvaratskhelia s’intègre à l’équipe du Paris Saint-Germain et continuez à suivre son parcours prometteur dans le monde du football. Allez Paris ! #Kvaratskhelia #PSG #ParisSaintGermain

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  • Khvicha Kvaratskhelia dévoile les dessous de sa venue au PSG


    C’est la grande nouvelle annoncée par le PSG vendredi soir. Pendant qu’il tente de trouver une solution d’urgence pour le prêt de Randal Kolo Muani à la Juventus, le club de la capitale officialisait la signature de Khvicha Kvaratskhelia en provenance de Naples. Coût de l’opération 70 M€ (+10 M€ de bonus). Le Géorgien n’est pas encore une star mais il a déjà quelques références de premier plan. Avec Osimhen, il a offert à son désormais ancien club un premier Scudetto depuis 23 ans. Après cela, c’est lors du dernier Euro qu’il a brillé, emmenant sa sélection jusqu’en 8e de finale. Le voilà entré dans une nouvelle dimension.

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    «C’est un honneur de pouvoir porter le maillot du PSG. C’était un rêve pour moi de jouer pour l’une des plus grandes équipes du monde. C’est une grande fierté, et un rêve et nous allons nous battre ensemble pour réaliser nos rêves. Je suis très heureux d’être là» entame l’ailier de 23 ans dans son premier entretien accordé à sa nouvelle équipe. Sa signature jusqu’en 2029 lui permet de voir sur le temps long de faire partie intégrante du projet parisien. C’est avec lui que les Rouge et Bleu ambitionnent de remporter ses prochains titres, notamment cette fameuse Ligue des Champions si désirée.

    Kvaratskhelia : «Je veux vivre de nouveaux challenges en venant ici à Paris»

    «Le projet m’a convaincu de venir ici. Je sais ce que le club veut accomplir, et comment il travaille avec les joueurs, poursuit la toute nouvelle recrue, qui portera le numéro 7 laissé par un certain Kylian Mbappé. Cela correspond à ce que je suis. Beaucoup de grands joueurs ont joué ici. Je n’ai pas beaucoup réfléchi quand j’ai eu l’opportunité de venir à Paris et je suis très heureux de ma décision. Je veux vivre de nouveaux challenges en venant ici à Paris, de nouveaux rêves, de nouveaux objectifs. Je veux m’améliorer pour aider l’équipe au maximum et donner le meilleur de moi-même.»

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    S’il ne sera pas du déplacement à Lens ce soir, dans le cadre de cette 18e journée, Kvara se dit également impatient de découvrir les méthodes de Luis Enrique. «Il est l’un des meilleurs entraîneurs du monde et je sais que je vais apprendre beaucoup en travaillant avec lui. Je suis très heureux de devenir un joueur entraîné par Luis Enrique.» Il pourra également profiter du tout nouveau centre d’entraînement du PSG, en attendant de réaliser sa première séance avec ses nouveaux coéquipiers. Non disponible pour la réception de Manchester City dès mercredi en C1, il sera sans doute présent au Parc des Princes pour rencontrer ses nouveaux supporters.

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    Khvicha Kvaratskhelia, le jeune prodige du football géorgien, a récemment fait sensation en signant au Paris Saint-Germain. Mais quels ont été les dessous de sa venue au club de la capitale ? Dans ce post, nous allons vous dévoiler les coulisses de ce transfert et les motivations du joueur pour rejoindre le PSG. Restez connectés pour en savoir plus sur cette incroyable histoire de succès et de détermination ! #KhvichaKvaratskhelia #PSG #transfert

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  • Neymar, Mbappé, Kvaratskhelia… Le top 10 des transferts les plus chers de l’histoire du PSG


    1/ Neymar : 222 millions d’euros

    Le transfert du siècle. En août 2017, l’ailier brésilien est au sommet de son art avec le FC Barcelone lorsque le PSG active sa clause libératoire, fixée à 222 millions d’euros. Huit ans plus tard, le montant du transfert, un record, n’a toujours pas été battu.

    2/ Kylian Mbappé : 180 millions d’euros

    18 ans et déjà le deuxième transfert le plus cher de l’histoire du football. Dans les derniers jours du mercato d’été 2017, Monaco et le PSG se mettent d’accord autour d’un prêt avec option d’achat pour l’attaquant français, qui sort d’une saison extraordinaire avec l’ASM (26 buts en 2016-2017).

    3/ Randal Kolo Muani : 75 millions d’euros

    À la recherche d’un attaquant de profondeur, le PSG a conclu dans les derniers instants du mercato estival 2023 la signature de Randal Kolo Muani auprès de l’Eintracht Francfort. La saison précédente, l’ancien Nantais avait notamment marqué 15 buts en Bundesliga, ce qui avait convaincu Paris de dépenser une somme importante pour lui (90 M€ dont 15 M€ de bonus). L’arrivée de « RKM » n’a toutefois pas été concluante jusqu’à présent et il a été prêté jusqu’à la fin de la saison à la Juventus Turin.

    4/ Khvitcha Kvaratskhelia : 70 millions d’euros

    30 buts, 29 passes décisives en 107 matches avec Naples : voilà ce qu’est capable d’apporter le virevoltant ailier géorgien. Arrivé au PSG dans le cadre  d’un transfert estimé à 70 M€, Khvitcha Kvaratskhelia a porté son équipe la saison dernière malgré trois entraîneurs successifs sur le banc napolitain. Seul bémol : un début de saison passable avec seulement 5 buts et 3 passes décisives en 19 titularisations en Serie A.

    5/ Gonçalo Ramos : 65 millions d’euros

    9e recrue estivale du PSG à l’été 2023 (65 M€), l’attaquant du Benfica débarque auréolé d’un titre de champion du Portugal, avec 19 buts marqués en Liga. Gonçalo Ramos se cherche encore dans le système de Luis Enrique. Il a marqué 19 fois en 51 matches à Paris.

    6/ Edinson Cavani : 64,5 millions d’euros

    301 matches, 200 buts : El Matador a marqué l’histoire de la Ligue 1. En 2013, il débarque de Naples (64,9 M€), où il a fini meilleur buteur de Serie A avec 29 réalisations, pour former un duo prometteur avec Zlatan Ibrahimovic.

    7/ Joao Neves : 60 millions d’euros

    Le milieu portugais, alors âgé de 19 ans, évoluait au Benfica quand le PSG l’a enrôlé l’été dernier contre 60 M€ (plus 10 M€ de bonus), une somme bien inférieure à sa clause libératoire, estimée à 120 M€.

    -/ Achraf Hakimi : 60 millions d’euros

    L’une des plus belles réussites sportives du club parisien sous l’ère QSI. Le latéral droit marocain a disputé 143 matches depuis son arrivée de l’Inter Milan à l’été 2021 contre 60 M€. Il est devenu un homme fort de Luis Enrique cette saison dans la capitale.

    9/ Angel Di Maria : 63 millions d’euros

    Août 2015 : Angel Di Maria, 27 ans, vient de passer une année difficile à Manchester United (seulement 3 buts en Championnat). Mais ça n’empêche pas le PSG d’en faire, alors, la deuxième recrue la plus chère de l’histoire du Championnat de France (63 M€), après Edinson Cavani.

    10/ Manuel Ugarte : 60 millions d’euros

    Après son arrivée en provenance du Sporting Portugal (60 M€) à l’été 2023, le milieu défensif uruguayen ne participe qu’à 37 rencontres avec le club de la capitale avant de s’envoler pour Manchester United l’été dernier, pour un montant assez proche (50 M€ + 10 M€ de bonus).

    Quelques buts du Maradona géorgien, Kvaratskhelia



    Voici le top 10 des transferts les plus chers de l’histoire du PSG, mettant en vedette des joueurs de renommée mondiale comme Neymar, Mbappé et Kvaratskhelia :

    1. Neymar – Transféré du FC Barcelone au PSG en 2017 pour un montant record de 222 millions d’euros.
    2. Kylian Mbappé – Arrivé au PSG en 2017 en provenance de l’AS Monaco pour un montant de 145 millions d’euros.
    3. Achraf Hakimi – Transféré de l’Inter Milan au PSG en 2021 pour un montant de 60 millions d’euros.
    4. Mauro Icardi – Arrivé au PSG en 2019 en provenance de l’Inter Milan pour un montant de 50 millions d’euros.
    5. Gianluigi Donnarumma – Transféré du Milan AC au PSG en 2021 pour un montant de 50 millions d’euros.
    6. Leandro Paredes – Arrivé au PSG en 2019 en provenance du Zénith Saint-Pétersbourg pour un montant de 40 millions d’euros.
    7. Abdou Diallo – Transféré du Borussia Dortmund au PSG en 2019 pour un montant de 32 millions d’euros.
    8. Georginio Wijnaldum – Arrivé au PSG en 2021 en provenance de Liverpool pour un montant de 22 millions d’euros.
    9. Idrissa Gueye – Transféré d’Everton au PSG en 2019 pour un montant de 22 millions d’euros.
    10. Khvicha Kvaratskhelia – Arrivé au PSG en 2022 en provenance du Lokomotiv Moscou pour un montant de 15 millions d’euros.

    Ces transferts illustrent la volonté du PSG de s’entourer des meilleurs joueurs du monde pour atteindre ses objectifs sportifs.

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  • Kvaratskhelia in panchina per scelta tecnica, giocano Neres e Politano (Gazzetta)

    Kvaratskhelia in panchina per scelta tecnica, giocano Neres e Politano (Gazzetta)




    In a recent update from Gazzetta, it has been reported that Kvaratskhelia has been benched for technical reasons, with Neres and Politano taking his place on the field. Stay tuned for more updates on this lineup change in the upcoming match. #Gazzetta #SerieA #Kvaratskhelia #Neres #Politano

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