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  • Agression sexuelle sur Adèle Haenel | Le réalisateur français Christophe Ruggia reconnu coupable


    (Paris) L’affaire avait bouleversé le monde du cinéma et ouvert la voie au #metoo français : le réalisateur Christophe Ruggia a été condamné lundi à Paris à quatre ans de prison, dont deux ferme sous bracelet électronique, pour avoir agressé sexuellement l’actrice Adèle Haenel quand elle était mineure.




    L’une de ses avocates, Fanny Collin, a immédiatement annoncé que Christophe Ruggia « se rend(ait) au greffe pour faire appel », car « nous ne pouvons pas nous résoudre à l’injustice ».

    Adèle Haenel, 35 ans, visiblement nerveuse avant le jugement, n’a pas réagi à l’annonce du délibéré. Christophe Ruggia, 60 ans, qui évitait de la regarder, n’a pas non plus montré de réaction.

    PHOTO ABDUL SABOOR, REUTERS

    Adele Haenel

    Le tribunal correctionnel a également condamné le réalisateur à indemniser Adèle Haenel à hauteur de 15 000 euros pour son préjudice moral, et 20 000 pour ses années de suivi psychologique.

    L’accusation avait requis le 10 décembre cinq ans de prison, dont deux ferme aménagés sous bracelet électronique à l’encontre du réalisateur, qui a contesté jusqu’au bout avoir agressé Adèle Haenel entre ses 12 et 14 ans.

    Les avocates de Christophe Ruggia avaient de leur côté plaidé la relaxe, même si aux yeux de tous il est déjà « coupable », avaient-elles déploré, craignant que le tribunal ne soit tenu « de rendre justice le pistolet sur la tempe ».

    Adèle Haenel avait joué le rôle principal de son film « Les Diables » en 2001, une histoire de fugue perpétuelle d’un frère et d’une sœur qui tourne à l’inceste, avec des scènes de sexe entre les enfants et de longs gros plans sur le corps nu d’Adèle Haenel. Plusieurs adultes sur le plateau avaient dit leur « malaise » face au comportement « déplacé » du réalisateur presque quadragénaire avec son actrice.

    « Ferme ta gueule ! »

    Les agressions sexuelles qu’a dénoncées Adèle Haenel – publiquement sur le site d’investigation Mediapart en 2019, déclenchant #metoo dans le cinéma français – auraient débuté chez le réalisateur, après le tournage du film sous couvert de préparation de sa promotion. Et se seraient poursuivies quasiment tous les samedis après-midi pendant deux ans.

    À la barre, l’actrice, qui s’est mise aujourd’hui en retrait du cinéma, a décrit le processus toujours identique des agressions. Elle, assise sur le canapé, lui, qui vient « se coller » l’air de rien au fil de la conversation parce que « ma puce (t’es) vraiment trop drôle ». Puis les mains qui passent sous le T-shirt, dans son pantalon. Après le « goûter », il la ramenait chez ses parents.

    Droite comme un i à l’audience, le visage régulièrement pris de spasmes nerveux, Adèle Haenel avait cherché les mots pour décrire l’impossibilité de sortir de cet engrenage, face à un homme qui disait l’avoir « créée », qu’il n’avait « pas eu de chance de tomber amoureux d’elle », cette « adulte dans un corps d’enfant ».

    L’actrice, qui avait péniblement contenu sa rage face aux dénégations répétées de Christophe Ruggia, se contentant de le fixer d’un regard noir qu’il évitait, avait fini par exploser la seconde après-midi de procès.

    Bondissant de son siège et dans un cri venu de loin, elle avait hurlé « mais ferme ta gueule ! », frappant des mains sur la table devant elle, figeant pendant quelques secondes la salle d’audience.

    « Défense absurde »

    Le réalisateur était en train d’expliquer qu’il avait tenté de la protéger des retombées du film dans la vraie vie.

    Elle avait ensuite quitté la salle, comme en écho à son départ de la cérémonie des César en 2020 après l’annonce du prix du meilleur réalisateur décerné à Roman Polanski, accusé d’agressions sexuelles et de viols par plusieurs femmes.

    Ce geste avait érigé Adèle Haenel en symbole des féministes.

    Soutenant qu’elle avait une « sensualité débordante » à 12 ans, Christophe Ruggia a pourtant assuré n’avoir « jamais » été « attiré » par l’actrice. Les accusations portées contre lui ? Une « vengeance », car il aurait refusé de la faire jouer à nouveau. Et puis, « il fallait lancer un #metoo français, et c’est tombé sur moi ».

    Une « défense absurde », avait balayé la procureure Camille Ploch. « Il a fait le choix d’agresser sexuellement. Il avait toute sa conscience d’homme, d’adulte pour agir autrement ».

    « Cette audience doit rappeler l’interdit, qui était l’adulte, qui était l’enfant », avait martelé la magistrate, disant n’avoir « aucun doute » sur la réalité des agressions, décrites de manière « constante » par Adèle Haenel.





    Agression sexuelle sur Adèle Haenel | Le réalisateur français Christophe Ruggia reconnu coupable

    C’est un tournant dans l’affaire qui secoue le monde du cinéma français depuis plusieurs mois. Le réalisateur Christophe Ruggia a été reconnu coupable d’agression sexuelle sur l’actrice Adèle Haenel.

    Les faits remontent à plusieurs années, lorsque Adèle Haenel était encore adolescente et travaillait avec Christophe Ruggia sur un film. L’actrice a révélé publiquement l’agression qu’elle a subie de la part du réalisateur, déclenchant une vague de témoignages et de soutien dans le milieu du cinéma.

    Après une enquête approfondie, la justice a finalement reconnu Christophe Ruggia coupable d’agression sexuelle sur Adèle Haenel. Cette décision marque une victoire pour l’actrice et toutes les victimes d’agressions sexuelles qui osent briser le silence.

    Cette affaire met en lumière les abus de pouvoir et les comportements inacceptables qui persistent dans l’industrie cinématographique. Espérons que cette condamnation serve d’exemple et encourage d’autres victimes à parler et à obtenir justice.

    Adèle Haenel a montré un courage admirable en dénonçant les agissements de Christophe Ruggia, et sa détermination a permis de faire avancer la vérité. Il est temps que les voix des victimes soient entendues et que les coupables soient tenus responsables de leurs actes.

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    February 3, 2025

  • Lille-Feyenoord – Olivier Guégan se confie sur Lucas Chevalier, le gardien du LOSC


    Olivier Guégan, vous avez lancé Lucas Chevalier chez les professionnels, à Valenciennes en Ligue 2 lors de la saison 2021-22. Pourquoi le LOSC avait-il prêté son jeune gardien à l’époque ?

    Olivier Guégan. : Ça s’est fait parce que je connais très, très bien Olivier Létang, le président du LOSC, qui est un ami. Je cherchais un gardien après le départ de Jérôme Prior et il a appuyé pour que je prenne Lucas. Engager un jeune gardien (19 ans à l’époque, NDLR), sans expérience, c’était un pari. Mais un pari gagnant-gagnant. Ses matches de préparation avaient été très bons, mais il s’était blessé à un ménisque et avait été opéré. Pour la petite histoire, le président Eddy Zdziech voulait le renvoyer à Lille, mais j’avais appuyé fort pour qu’on le garde.

    “Lucas a un entourage très, très sain. C’est aussi une forme d’intelligence de bien savoir s’entourer”

    Qu’est-ce qu’Olivier Létang vous avait dit, il y a quatre ans, concernant Lucas Chevalier ?

    O.G. : Il a anticipé la suite, tout simplement. Il croyait fortement en son jeune gardien. Ils ont construit sa carrière en lui proposant d’aller faire une année pleine en Ligue 2. La saison précédente, il était troisième gardien de Lille derrière Mike Maignan et Orestis Karnezis. Lui n’avait que des matches de N2 dans les jambes donc il devait empiler des minutes chez les professionnels. À ce poste-là, l’expérience est importante. Lucas et le président Létang avaient sûrement le souhait qu’il devienne titulaire à Lille la saison d’après.

    Revenons à ce début de saison 2021-22. Quels sont vos premiers souvenirs de Lucas Chevalier à Valenciennes ?

    O.G. : C’était un gardien intéressant, décisif, avec de la personnalité, qui prend de la place dans le but et qui croit en lui. Malgré son très jeune âge, il dégageait beaucoup de maturité dans son jeu. Ses matches de préparation avaient été intéressants et sa blessure lui avait mis un coup d’arrêt. Mais derrière, si Valenciennes s’était maintenu, c’est certainement grâce à la grosse fin de saison de Lucas.

    Est-ce que vous vous attendiez à ce qu’il atteigne le niveau qui est le sien aujourd’hui ?

    O.G. : C’est un gardien qui avait déjà beaucoup de qualités : de l’envergure, un jeu aux pieds plus que positif et une capacité à être décisif sur sa ligne. Ce qui était bluffant pour son âge, c’était sa constance dans la performance. On savait, je lui disais dès le début d’ailleurs, que s’il poursuivait sa progression, il serait un gardien important dans le football français. Comme on dit, c’est quelqu’un de câblé. C’est-à-dire qu’il sait où il veut aller et qu’il se donne les moyens pour atteindre ses objectifs. En plus, il a un entourage très, très sain. C’est aussi une forme d’intelligence de bien savoir s’entourer. Aussi, Lucas ne subit pas le poste. Dans sa surface, il sait être agressif, performant. Puis au-delà de ses qualités, il a un mental à toute épreuve.

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    Lucas Chevalier lors du match entre Lille et la Juventus en Ligue des champions

    Crédit: Getty Images

    “Ce n’est pas un grand bavard, il observe mais quand il a quelque chose à dire, il le dit”

    Dans quels domaines devait-il progresser à l’époque ?

    O.G. : Je dirais qu’on progresse toujours dans tous les domaines, mais lui avait beaucoup de points forts. Il va très vite au sol, il est très dynamique dans les appuis et lit bien les trajectoires. Dans son but, il en impose et l’attaquant adverse doit faire un exploit pour marquer. Après, le petit axe de progression était peut-être le jeu aérien. Mais on peut dire qu’il avait déjà pas mal de choses en magasin.

    Quelle était sa place dans le vestiaire valenciennois ?

    O.G. : Ce n’est pas un grand bavard, il observe mais quand il a quelque chose à dire, il le dit. Lorsqu’il parle, sa voix porte. Dans mes échanges avec lui, j’avais senti qu’il avait beaucoup, beaucoup d’ambitions. Il ne se cachait pas pour les dévoiler et en plus il assumait derrière. C’est un gardien moderne qui est dans le Top 3 français actuellement. Il est déjà dans un grand club français mais il a le potentiel pour aller dans un grand club européen.

    Quelles étaient ses ambitions ?

    O.G. : Lui souhaitait jouer. A Valenciennes, il savait qu’il n’était que de passage mais il s’est investi à 100% dans le club et l’équipe. Son objectif était d’empiler les minutes en étant performant. Au départ, ce n’était pas gagné d’avance mais Lucas a assumé.

    Qu’est-ce que vous vous dites quand vous voyez ses prestations XXL actuelles ?

    O.G. : Je me dis qu’il est dans sa progression naturelle. Moi, je ne suis pas surpris que ça aille si vite pour Lucas. Parce que c’est la suite logique, tout simplement.

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    Olivier Guégan, l’entraîneur qui a lancé Lucas Chevalier chez les professionnels.

    Crédit: Getty Images

    “À terme, c’est sûr qu’il va postuler pour bousculer la hiérarchie en équipe de France

    Est-ce que vous lui voyez un avenir en équipe de France (Lucas Chevalier a été convoqué pour la première fois en novembre 2024, NDLR) ?

    O.G. : Pour l’instant, les deux meilleurs gardiens français sont là. Actuellement, Mike Maignan a de l’avance mais Lucas a de l’ambition. A terme, c’est sûr qu’il va postuler pour bousculer la hiérarchie.

    Vous dites “les deux meilleurs gardiens français sont là”. Pour vous, Lucas Chevalier est actuellement le deuxième meilleur portier tricolore, devant Brice Samba et Alphonse Aréola ?

    Dans quel championnat européen a-t-il le potentiel pour s’épanouir à l’avenir ?

    O.G. : Il ira où il voudra aller. Mais je pense qu’il pourra s’imposer où il veut sans problème.



    Lille-Feyenoord – Olivier Guégan se confie sur Lucas Chevalier, le gardien du LOSC

    Dans une récente interview, l’entraîneur de Lille, Olivier Guégan, a partagé ses impressions sur Lucas Chevalier, le gardien de but du LOSC. Guégan a loué les performances de Chevalier lors des derniers matchs et a souligné son importance pour l’équipe.

    “Lucas est un joueur exceptionnel avec des qualités indéniables. Il a été solide et fiable dans les cages, et a sauvé l’équipe à plusieurs reprises. Son calme et sa concentration sont impressionnants, et il a prouvé qu’il était un atout précieux pour notre équipe”, a déclaré Guégan.

    Guégan a également souligné le professionnalisme et l’attitude exemplaire de Chevalier, tant sur le terrain qu’en dehors. “Lucas est un joueur très sérieux et dévoué, qui travaille dur à l’entraînement et donne toujours le meilleur de lui-même. C’est un exemple pour ses coéquipiers et un leader sur le terrain”, a ajouté Guégan.

    Avec des éloges aussi élogieux de la part de son entraîneur, il est clair que Lucas Chevalier est un joueur clé pour Lille et un élément indispensable de l’équipe. Les supporters peuvent s’attendre à le voir briller lors du prochain match contre Feyenoord et à jouer un rôle crucial dans la quête de succès du club cette saison.

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  • un match sur le terrain judiciaire et politique – Libération


    Et l’affaire tourna vinaigre. A première vue, le renouvellement de la concession du Stade de France aurait pu être un non-événement, un appel d’offres comme il en existe régulièrement dans l’Hexagone et qui ne fait guère parler de lui. Loupé, le choix de l’exploitant de cette arène de 80 000 places, dans laquelle l’équipe de France de football a remporté la Coupe du monde en 1998 tourne depuis quelques semaines à la foire d’empoigne et embarrasse sérieusement le gouvernement. La décision, le 10 décembre 2024, de débuter des négociations exclusives avec le groupe GL Events pressenti comme le futur exploitant des lieux a sérieusement contrarié l’autre et unique concurrent : en l’occurrence le consortium composé des deux géants du BTP Bouygues et Vinci présents dans les lieux depuis trente ans et bien décidés à y rester. L’affaire a d’ailleurs pris un tour judiciaire, puisqu’un recours en référé (c’est-à-dire en urgence) a été déposé devant le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) afin de faire annuler la décision gouvernementale. Conscients que l’affaire est d’importance, les magistrats ont choisi de se prononcer en formation collégiale et non de laisser un seul et unique juge trancher. L’audience se tiendra ce mercredi 29 janvier. Au bas mot, le renouvellement pour trente ans de cette concession représente la modique somme de 2,5 milliards d‘euros de chiffre d’affaires cumulé.

    Les deux candidats à la gestion du stade ont des profils bien différents. Vinci et



    Un match sur le terrain judiciaire et politique

    Dans un monde où la frontière entre le judiciaire et le politique semble de plus en plus poreuse, les affrontements sur le terrain de la justice prennent une dimension particulière. Entre les procès médiatiques, les enquêtes politisées et les luttes de pouvoir, le jeu des acteurs se complexifie et se noue dans une danse parfois trouble.

    Les récents scandales politico-judiciaires, en France comme à l’étranger, mettent en lumière les enjeux de cette confrontation entre l’arène judiciaire et l’arène politique. Les affaires Fillon, Sarkozy, Balkany ou encore Benalla, pour ne citer qu’elles, témoignent de la porosité des frontières entre ces deux sphères et de la nécessité de les penser ensemble.

    Entre instrumentalisation de la justice à des fins politiques, pressions sur les magistrats, politisation des affaires judiciaires et politisation de la justice, le jeu des acteurs est complexe et demande une lecture fine et nuancée. Comment garantir l’indépendance de la justice face aux pressions politiques ? Comment préserver la légitimité de l’action politique face aux enquêtes judiciaires ? Comment éviter les dérives et les abus de pouvoir dans cette lutte d’influence ?

    Dans ce match sur le terrain judiciaire et politique, les enjeux sont de taille et les règles du jeu parfois floues. Il appartient à chacun de rester vigilant et de défendre les principes démocratiques qui fondent notre société. Car c’est en préservant l’indépendance de la justice et en garantissant le respect de l’Etat de droit que nous pourrons construire un avenir plus juste et plus équitable pour tous.

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  • «J’ai eu des hésitations sur mon texte, des trous de mémoire», confie la comédienne Catherine Deneuve en parlant des séquelles de son AVC sur son travail


    Catherine Deneuve a été victime d’un AVC en 2019.

    Et contrairement à certains, la star «l’a senti venir», alors qu’elle tournait justement dans un hôpital le film d’Emmanuelle Bercot De son vivant.

    «J’ai eu des hésitations sur mon texte, des trous de mémoire. Je l’ai dit. Ils se sont tout de suite rendu compte que quelque chose n’allait pas et ils ont réagi», a expliqué Catherine Deneuve à Vanity Fair.

    L’actrice emblématique de 81 ans a passé une convalescence difficile aux Invalides, où elle était entourée de soldats blessés.

    «Voir tous ces jeunes hommes blessés, amputés, ces militaires dans cet état… Il y en avait un qui était toujours allongé sur le dos, sur un brancard, il ne pouvait plus marcher. Il avait fait un saut et son parachute ne s’était pas ouvert. Il regardait le ciel, la coupole et il fumait. Il était beau. Voir ça, c’est difficile», confie-t-elle.

    Si l’actrice des Demoiselles de Rochefort s’est remise, elle continue de travailler sa mémoire avec un orthophoniste. Elle constate que «plus le temps passe, plus les choses du passé, de l’enfance, sont là». Si elle a du mal à retenir un prénom, le jour où sa mère est «partie pour le sanatorium» est toujours aussi vivace dans son esprit. «C’était horrible, on l’a emmenée, je regardais par la fenêtre, j’avais sept ans, je pourrais décrire exactement cette fenêtre, sa taille, son encadrement, la lumière, tout», dévoile Catherine Deneuve.



    L’actrice et icône française Catherine Deneuve a récemment ouvert son cœur sur les difficultés qu’elle a rencontrées en raison des séquelles de son AVC. Dans une interview poignante, la comédienne a avoué avoir eu des hésitations sur son texte et des trous de mémoire qui ont affecté son travail.

    Catherine Deneuve, connue pour sa beauté intemporelle et son talent incontesté, a révélé qu’elle a dû faire face à de nouveaux défis depuis son accident vasculaire cérébral. Malgré sa longue et illustre carrière, l’actrice a avoué qu’elle avait parfois du mal à se souvenir de ses lignes et à maintenir sa concentration sur le plateau.

    « J’ai eu des moments d’incertitude et de confusion, ce qui a rendu mon travail plus difficile », a déclaré Catherine Deneuve. « C’est frustrant de ne pas être capable de donner le meilleur de soi-même en raison de problèmes de mémoire. »

    Malgré ces difficultés, la comédienne reste déterminée à continuer à exercer son métier avec passion et détermination. Elle a révélé qu’elle travaillait avec des professionnels de la santé pour améliorer sa mémoire et sa concentration, et qu’elle était reconnaissante pour le soutien de ses collègues et de son public.

    « Je suis déterminée à surmonter ces obstacles et à continuer à faire ce que j’aime le plus au monde : jouer la comédie », a déclaré Catherine Deneuve. « Je suis reconnaissante pour toutes les opportunités qui se présentent à moi et je suis impatiente de relever de nouveaux défis. »

    Cette déclaration sincère de la part de Catherine Deneuve montre une fois de plus sa force et sa résilience, et inspire des millions de fans à travers le monde. Nous lui souhaitons tout le courage et le soutien dont elle a besoin pour surmonter ces difficultés et continuer à briller sur scène et à l’écran.

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  • Glamour à souhait, Leïla Bekhti mise sur une combinaison rouge passion lors de la Fashion Week


    La session mode masculine de la PFW Automne/Hiver 2025 a débuté
    ce mercredi 22 janvier et se poursuivra jusqu’au dimanche 26
    janvier au Palais de Tokyo. Parmi les défilés les plus attendus,
    celui d’Alexandre Mattiussi, fondateur de la maison
    AMI    , a marqué les esprits. Mélangeant habilement mode
    masculine et féminine, le créateur a présenté une collection qui
    incarne parfaitement l’élégance contemporaine et inclusive de sa
    marque. Et ce mercredi 22 janvier, le public prestigieux du
    défilé     comptait de nombreuses personnalités… Mais une
    invitée a particulièrement retenu l’attention : Leïla Bekhti.

    L’actrice française, resplendissante et charismatique, a su
    éclipser les projecteurs par son look qui a été repris dans de
    nombreux médias. On vous dévoile tout… 

    Le rouge : la couleur star de l’hiver…

    Le rouge s’impose comme la
    couleur phare de ces dernières saisons    , et l’automne-hiver
    2024-2025 ne fait pas exception. À mi-chemin entre passion
    brûlante et élégance affirmée    , cette teinte vibrante est
    omniprésente sur les podiums. Des maisons comme Courrèges et
    Givenchy l’ont érigée au rang d’icône en la réinterprétant avec
    modernité et sophistication. Il faut dire que ce qui rend le rouge
    irrésistible, c’est sa capacité à insuffler une énergie audacieuse
    à n’importe quelle tenue.

    Porté en total look ou en touches subtiles, il dynamise
    les silhouettes hivernales     souvent austères et attire
    instantanément les regards. Une robe écarlate ou un manteau carmin
    peut facilement devenir la pièce maîtresse d’un vestiaire. Et Leïla
    Bekhti, véritable
    incarnation de cette élégance     audacieuse, a confirmé cette
    tendance lors de la Paris Fashion Week. Avec son sens inné de la
    mode, elle a prouvé que le rouge n’est pas qu’une couleur :
    c’est une véritable déclaration !

    Glamour à souhait, Leïla Bekhti mise sur une combinaison rouge passion lors de la Fashion Week

    ©
    Shutterstock     Full look rouge PFW / Dior

    … portée sublimement par Leïla Bekhti

    Lors du défilé d’Alexandre Mattiussi, organisé ce mercredi 22
    janvier en pleine Fashion Week masculine de Paris, un casting
    prestigieux était réuni pour célébrer les créations du designer.
    Parmi les invités d’exception, Catherine Deneuve, Lou Doillon,
    Camélia Jordana, Omar Sy, ainsi que Whoopi Goldberg, récemment
    choisie comme égérie de la maison. Fidèle au
    créateur, Leïla Bekhti a également attiré les regards avec une
    allure remarquable.

    L’actrice de 40 ans a pris place au premier rang, vêtue
    d’un ensemble rouge éclatant     composé d’une chemise aux
    manches évasées, d’un pantalon fluide et d’une ceinture assortie
    soulignant sa taille. Son style était rehaussé par des sandales à
    talons élégantes, un maquillage charbonneux et un
    chignon plaqué     qui laissaient toute l’attention sur
    l’harmonie de sa tenue    . Une présence qui illustre avec
    audace la puissance du rouge cette saison. 

    AMI : un défilé poétique avec
    Leïla Bekhti bien entourée

    Dans un bâtiment désaffecté du Faubourg Poissonnière, AMI a
    dévoilé une collection automne-hiver apaisante et
    raffinée    . Sur le podium, 52 silhouettes masculines
    et féminines    , mêlant nouvelles recrues et figures
    iconiques comme Jeanne Cadieu ou Liya Kebede, ont défilé dans une
    atmosphère poétique et contemporaine. Parmi les
    invités, Catherine Deneuve, Whoopi Goldberg, Leïla Bekhti ou encore
    Omar Sy étaient présents pour soutenir Alexandre Mattiussi.

    La collection met à l’honneur des tissus nobles, des
    motifs intemporels et des coupes amples    , notamment avec
    les manteaux et trenchs XXL emblématiques de la maison. Les
    accessoires marquent également les esprits : le sac
    “Mimi”, les bracelets dorés inspirés de l’histoire
    et des bottes en maille tricotée complètent cette vision moderne et
    audacieuse de l’hiver. Un avant-goût prometteur de cette Fashion
    Week ! 





    Leïla Bekhti, l’actrice française à la beauté renversante, a une fois de plus fait sensation lors de la Fashion Week en optant pour une combinaison rouge passion qui a attiré tous les regards. Avec son allure glamour et son charisme naturel, Leïla a su captiver l’attention des photographes et des fans présents à l’événement.

    La combinaison rouge, mettant en valeur sa silhouette élancée et son teint lumineux, a parfaitement mis en avant le sens du style de l’actrice. Accessoirisée avec des talons hauts et des bijoux discrets, cette tenue audacieuse mais élégante a confirmé une fois de plus le statut de Leïla Bekhti en tant qu’icône de la mode.

    L’actrice a également opté pour un maquillage sophistiqué mettant en avant ses magnifiques yeux bruns et ses lèvres pulpeuses. Sa coiffure simple et chic complétait parfaitement son look glamour à souhait.

    En bref, Leïla Bekhti a une fois de plus prouvé qu’elle est une véritable reine du style et de l’élégance. Sa combinaison rouge passion a attiré tous les regards et a confirmé son statut d’icône de la mode.

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  • Match : Positionnement, forme, intégration, etc, retour sur la première de Kvara avec le PSG


    Une grosse semaine après son arrivée, l’ailier géorgien Khvicha Kvaratskhelia a connu sa première titularisation avec le PSG, pour ce qui était aussi son premier match face à Reims (1-1). Si sa meilleure action a évidemment été sa passe décisive, retour sur la performance d’ensemble du Géorgien.

    Seule recrue hivernale du PSG jusque-là, Khvicha Kvaratskhelia a étrenné son numéro 7 ce samedi soir à l’occasion d’un match contre Reims qui ne restera dans les mémoires que pour… ses débuts. Contrairement à ce qu’il fait avec la plupart de ses recrues, Luis Enrique l’a propulsé directement dans le onze de départ et Kvara a même joué 83 minutes, un gros temps de jeu pour quelqu’un qui n’avait pas joué depuis le 29 décembre.

    Un joueur qui a pu s’appuyer sur sa technique, pas sur son physique

    Cela a d’ailleurs été visible : Kvara n’est pas à 100% physiquement et manque cruellement de rythme. Le Géorgien a ainsi réussi deux mi-temps assez similaires qui semblent pointer vers ce manque physique : des bonnes entames puis un joueur qui semble peu à peu manquer d’énergie et de jus. Les dribbles et la capacité de Kvara à déborder ses adversaires directs montrent assez bien la faible autonomie du moment du joueur puisque, plus les minutes passaient, moins Kvara parvenait à passer, ses accélérations étant moins tranchantes. Et dans un championnat aussi intense et dur que la L1, il faut aussi du punch pour déborder un défenseur.

    Mais le Géorgien n’est pas un joueur qui ne compte que sur son explosivité pour déborder un adversaire. Sa conduite de balle très fine s’est déjà manifestée en plusieurs occasions et le musculeux Aurélio Buta auquel il était opposé n’a parfois rien su faire face à la douceur du toucher de l’ailier parisien. Kvara a aussi goûté à cette situation que les ailiers parisiens croisent régulièrement, à savoir être isolés à un contre deux voire trois adversaires. Une situation compliquée pour n’importe quel joueur, et qui l’est encore plus sans jambes.

    Après un mois sans jouer, et en s’entraînant à peine avec Naples à la fin, c’est tout à fait logique et cela va revenir petit à petit. Mais s’il était qualifié en Champions League pour le match de mercredi à Stuttgart, il n’est pas certain non plus qu’il aurait été titularisé. Kvara a simplement besoin de temps et de matches pour retrouver son meilleur niveau, bien au-dessus de ce qu’il a pu montrer ce samedi soir.

    Après la partie, le Géorgien ne disait d’ailleurs pas le contraire : « Je me sentais bien mais c’est juste que je n’avais pas joué depuis un mois. Je pense que c’est pourquoi c’était un peu difficile pour moi mais l’entraîneur et les membres du staff vont me faire travailler plus dur pour que je retrouve une forme optimale. Je vais continuer à travailler pour être en pleine forme. » 

    Une intégration collective à parfaire

    Il va aussi avoir besoin de temps pour mieux se trouver avec ses partenaires car, dans ce domaine de l’intégration collective, il y a également, et tout aussi logiquement, beaucoup de travail. Sur certaines séquences comme le but de Dembélé qu’il crée largement par une percée en diagonale totalement dans son style, ses partenaires ont su lui proposer des relais au coeur du jeu particulièrement intéressants, tout particulièrement Désiré Doué qui a su lui remettre dans la course et le bon tempo le ballon.

    Le relayeur parisien du soir a d’ailleurs montré une belle connivence à ce niveau en général, l’autre relayeur Lee un peu moins. Arrière gauche, Nuno Mendes a également alterné le bon et le moins bon dans ses combinaisons avec le Géorgien et il faudra du temps pour que les deux hommes se comprennent mieux. Mais il y a eu des bribes d’intention à souligner, notamment via des courses qui se poursuivent pour offrir des solutions dans le mouvement. Sur une autre séquence, on a également vu Lucas Hernandez tenter de le lancer en profondeur quand Kvara attendait le ballon dans les pieds, d’où une balle rendue à Reims.

    L’aile gauche lui a été attribuée, mais pas que

    Si Kvara a cherché sa place dans le jeu collectif parisien de façon régulière, il a aussi un peu cherché la sienne sur le terrain. Il était l’ailier gauche parisien et devait donc alternativement tenir la largeur pour provoquer des duels en un-contre-un ou prendre le demi-espace pour combiner. Deux rôles qu’il connaît bien mais dans lesquels il va devoir trouver des repères au sein du schéma parisien, faits d’espaces à occuper et à compenser via des positions aussi fixes qu’interchangeables avec ses partenaires.

    La heatmap de Kvara contre Reims, via Whoscored.com

    En zone mixte, il a d’ailleurs commenté cette spécificité tactique nouvelle : « Les permutations de l’équipe font qu’on peut jouer à toutes les positions (dans un même match). C’est très agréable quand tu te sens libre, quand tu es proche du but. L’équipe a une stratégie et il faut la mettre en oeuvre. » Cette liberté très contrôlée qui est chère à Luis Enrique s’est manifestée à plusieurs reprises et son adaptation se mesurera d’ailleurs probablement du mieux possible de la sorte. 

    En attendant, Luis Enrique a clairement enlevé toute pression à son joueur, faisant de ce premier match une toute petite étape d’un parcours au long cours : « C’est toujours compliqué pour un joueur de jouer son premier match dans une équipe. Il n’a connu que quatre séances d’entraînement avec ses coéquipiers. Nous le connaissons à peine et il ne nous connaît pas non plus. Je trouve qu’il a été bon. Dès qu’il touche le ballon, on sent qu’il est différent. C’est son premier match, mais c’est le premier d’une longue série au sein du club et je pense que le bilan est positif. […] Kvaratskhelia sera au niveau et est est un renfort très intéressant pour nous. Mais nous devons attendre de juger ses performances, il vient tout juste d’arriver. »





    La première de Kvara avec le PSG a été un moment très attendu par les fans du club. Le jeune joueur a été recruté pour renforcer l’équipe et apporter sa touche personnelle au jeu. Lors de ce match, nous avons pu observer différents aspects de son jeu, notamment son positionnement sur le terrain.

    Kvara a montré une grande intelligence tactique en se positionnant de manière à bien couvrir les espaces et à se rendre disponible pour ses coéquipiers. Sa capacité à lire le jeu et à anticiper les actions adverses a été un atout majeur pour l’équipe.

    En termes de forme physique, Kvara a également montré qu’il était prêt à relever le défi. Il a enchaîné les courses et les duels avec une grande intensité, montrant sa détermination à défendre les couleurs du PSG.

    En ce qui concerne son intégration au sein de l’équipe, Kvara a su se faire une place rapidement. Son attitude positive et son envie de bien faire ont été appréciées par ses coéquipiers et le staff technique.

    En résumé, la première de Kvara avec le PSG a été une réussite. Le joueur a montré de belles qualités sur le terrain et semble prometteur pour l’avenir. Nous avons hâte de le voir évoluer davantage au sein de l’équipe et de le voir contribuer à de belles performances. Allez PSG !

    Tags:

    1. Match PSG Kvara
    2. Positionnement sur le terrain
    3. Forme des joueurs
    4. Intégration de Kvara au PSG
    5. Retour sur la première de Kvara
    6. Analyse du match PSG Kvara
    7. Performances de l’équipe
    8. Stratégies de jeu
    9. Résumé du match
    10. Dernières actualités du PSG et de Kvara

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  • l’étrange réponse de Luis Enrique sur l’absence d’Ousmane Dembélé


    Les compositions officielles du choc entre le Paris Saint-Germain et Manchester City sont tombées. Côté parisien, plusieurs surprises : Warren Zaïre-Emery et Ousmane Dembélé sont sur le banc de touche. Concernant le deuxième cité, la surprise est peut-être plus grande.

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    Dembélé est-il toujours diminué par son virus ? Interrogé sur son choix, Luis Enrique… n’a pas voulu répondre. « Je n’ai rien à dire. J’analyserai tout quand le match sera fini. Mais à cette heure-ci, je ne donnerai pas de piste à l’adversaire, encore moins à une heure du match », a-t-il déclaré au micro de Canal+.

    Pub. le
    – MAJ le



    L’étrange réponse de Luis Enrique sur l’absence d’Ousmane Dembélé

    Lors d’une récente conférence de presse, l’entraîneur de l’équipe nationale espagnole, Luis Enrique, a été interrogé sur l’absence du joueur Ousmane Dembélé dans la liste des joueurs sélectionnés pour les prochains matchs. Sa réponse a surpris de nombreux fans et journalistes présents.

    Au lieu de donner une explication claire et précise sur la situation de Dembélé, Luis Enrique a répondu de manière énigmatique, en disant que “parfois, les choix sont faits en fonction de l’énergie que les joueurs apportent à l’équipe”. Cette réponse sibylline a laissé les observateurs perplexes et a alimenté les spéculations sur les raisons réelles de l’absence du joueur.

    Certains ont interprété ces propos comme une critique voilée du comportement de Dembélé en dehors du terrain, tandis que d’autres ont suggéré qu’il pourrait s’agir d’un problème de discipline ou de performance. Quelle que soit la raison, une chose est sûre : l’absence de Dembélé dans l’équipe suscite beaucoup d’interrogations et d’inquiétudes chez les supporters. Nous espérons que des clarifications seront apportées prochainement par Luis Enrique ou le joueur lui-même.

    Tags:

    Luis Enrique, Ousmane Dembélé, réponse étrange, absence, football, équipe nationale, Barcelone, interview, nouvelles, sportifs

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  • Dutch museum to return sacred items stolen from Ysleta Del Sur Pueblo Tribe


    YSLETA DEL SUR PUEBLO, Texas (KVIA) — The Netherlands is returning sacred Ysleta Del Sur Pueblo Tribe artifacts. The items, currently housed at the Nationaal Museum Van Wereldculturen, will make their way back to El Paso after they were taken by Dutch anthropologist Herman F.C. Ten Kate in December 1882.

    “Mr. Ten Kate used very dubious means to take our treasures back to the Netherlands, so that they could be placed in museums, where they remain to this day,” said Ysleta del Sur Pueblo Governor Michael Silvas. “Since 1882, we have prayed for their return and petitioned the Dutch for their return. Our antiquities are part of our every-day spiritual life, and they were taken away from us to hang in a museum. Thankfully, our prayers have been answered, and these religious icons will, once again, be returned to our people so that we can only strengthen and continue to practice our culture and faith.”

    Lawmakers from Texas and New Mexico have been working with the Department of State and the Dutch Government to return the items.

    The items include the Sacred Pohwith Winter Drum, described as perhaps the Pueblo’s most important spiritual icon, which will now be reunited with its brother, the Summer Drum. Once returned, the Pueblo will use the Winter Drum in its Winter rituals and traditions for the first time since 1882.

    The Pueblo have tried to recover the Winter Drum and other important items numerous times since 1967. As recently as 2017, the Dutch declined the Pueblo’s request. Recently, however, the government publicly displayed an interest in repatriating items to indigenous groups, opening a window for the return of the Pueblo’s sacred items.

    “The Pohwith Winter Drum and its Brother Summer Drum are living entities to be birthed, fed, blessed, cared for, and prayed for,” the Pueblo stated in a news release Friday. “The drums are more than 350 years old and are hewn from the same tree from a forest near the Pueblo’s ancestral home in Isleta, New Mexico. They will soon be reunited for the first time since 1882, along with the return of a shield, another smaller drum and drum stick, moccasins, and rattles.”

    The repatriation is expected to be complete this year.



    In a monumental move towards reconciliation and respect for Indigenous communities, a Dutch museum has announced its decision to return sacred items stolen from the Ysleta Del Sur Pueblo Tribe.

    The Museum Volkenkunde in Leiden, Netherlands has agreed to repatriate a collection of sacred objects, including ceremonial masks and religious artifacts, which were taken from the tribe over a century ago. The items were acquired by the museum in the 19th century through colonial expeditions and have been kept in their collection ever since.

    The Ysleta Del Sur Pueblo Tribe, located in present-day Texas, has long sought the return of these precious cultural items, which hold deep spiritual significance for their community. The repatriation process marks a significant step towards healing the wounds of colonialism and honoring the rights and beliefs of Indigenous peoples.

    This decision by the Museum Volkenkunde sets an important precedent for other institutions holding stolen cultural artifacts, urging them to confront their colonial legacies and take steps towards repatriation and restitution. It is a powerful reminder of the need to acknowledge and rectify the injustices of the past, and to work towards building a more equitable and inclusive future for all.

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    1. Dutch museum
    2. Sacred items
    3. Ysleta Del Sur Pueblo Tribe
    4. Cultural restitution
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    8. Repatriation
    9. Museum ethics
    10. Cultural heritage preservation

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  • Avec « La Grande soirée du 31 » sur France 2, les téléspectateurs se sont crus tout sauf en 2025

    Avec « La Grande soirée du 31 » sur France 2, les téléspectateurs se sont crus tout sauf en 2025


    France 2 Stéphane Bern à la présentation de « La Grande soirée du 31 » le 31 décembre 2024.

    France 2

    Stéphane Bern à la présentation de « La Grande soirée du 31 » le 31 décembre 2024.

    TÉLÉVISION – Une ode au passé sur les Champs-Élysées. Pour fêter le passage à l’année 2025, France 2 a organisé un concert géant devant l’Arc de Triomphe ce mardi 31 décembre. Mais plutôt que des stars qui marqueront l’année prochaine, la programmation a fait la part belle aux tubes des années 2000, 1980, voire 1970.

    Au programme en direct (ou non) : la troupe du Roi Soleil, Chimène Badi, Michel Fugain, Jenifer, Lio, le collectif métissé, Marc Cerrone ou encore Gims. Des artistes qui sont des valeurs sûres en soirée, mais qui ne reflètent pas vraiment ce qui nous attend musicalement dans le futur. Et les téléspectateurs l’ont bien remarqué, comme vous pouvez le voir dans ces messages postés sur X.

    Feu d’artifice traditionnel

    Dans le registre un peu plus moderne, il faut noter que Yanns était présent pour chanter son titre Clic clic pan pan pan. Amir s’est aussi produit tout comme Eddy de Pretto, Kendji Girac, ou encore Santa. Le rugbyman Antoine Dupont, parmi les stars des JO 2024, a fait une courte intervention vidéo (sans chanter).

    Les artistes se sont succédé sur scène à partir de 21 heures et jusqu’à minuit moins dix. Une vidéo de mapping 3D a alors été diffusée pour montrer les métamorphoses de Paris au cours des années, avant que le feu d’artifice illumine le ciel de Paris. La soirée était présentée par Stéphane Bern, tandis que Mohamed Bouhafsi et Magali Ripoli étaient au milieu de la foule pour mettre l’ambiance.

    À voir aussi sur Le HuffPost :



    Le 31 décembre dernier, les téléspectateurs de France 2 ont pu assister à une soirée du réveillon pour le moins surprenante. En effet, avec “La Grande soirée du 31”, ils se sont retrouvés transportés loin de l’année 2025.

    Au programme de cette émission spéciale : des sketchs décalés, des chansons rétro, des jeux vintage et même des publicités d’un autre temps. Les animateurs ont joué le jeu à fond, se transformant en personnages d’une époque révolue.

    Les téléspectateurs ont été totalement désorientés, se demandant s’ils étaient bien en 2025 ou s’ils avaient voyagé dans le temps. Certains ont même cru à une blague, pensant que la chaîne avait diffusé une rediffusion d’un réveillon du siècle dernier.

    Finalement, cette soirée pas comme les autres a été une véritable bouffée d’air frais pour le public, qui a pu se divertir et se laisser surprendre par ce voyage dans le passé. Une façon originale de célébrer la fin de l’année et de commencer la nouvelle avec le sourire.

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    • La Grande soirée du 31
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